Marcelle Poirriez est une figure bien connue de la communauté CACEM en Martinique. Son nom revient régulièrement dans les échanges entre habitants, professionnels du territoire et acteurs de la vie publique. Qui est-elle exactement ? Quel est son rôle ? Et pourquoi suscite-t-elle autant d’intérêt ? Nous allons vous présenter ici tout ce qu’il faut savoir à son sujet, en nous appuyant sur des faits concrets et récents pour vous offrir une vue d’ensemble claire et utile.
Qui est Marcelle Poirriez et quel est son rôle au sein de la CACEM ?
Marcelle Poirriez est une élue municipale et communautaire impliquée dans la vie politique et sociale de la Martinique. Elle siège à la Communauté d’agglomération du centre de la Martinique (CACEM), qui regroupe quatre communes : Fort-de-France, Schœlcher, Saint-Joseph et Le Lamentin. La CACEM couvre un bassin de vie représentant près de 150 000 habitants, soit environ 40 % de la population martiniquaise.
Elle y exerce des fonctions liées à des commissions stratégiques, notamment dans les domaines de la transition écologique, de l’aménagement urbain et de la cohésion sociale. En tant que représentante active, elle participe régulièrement aux conseils communautaires et prend part aux décisions ayant un impact direct sur le quotidien des habitants. Son engagement est particulièrement remarqué dans les projets de développement durable et dans les politiques publiques d’inclusion.
Un engagement marqué dans la transition écologique
Marcelle Poirriez s’est positionnée comme une actrice engagée dans les problématiques environnementales. À la CACEM, elle appuie activement les politiques en faveur d’une Martinique plus résiliente face aux défis climatiques.
Promotion de l’économie circulaire
Elle soutient les projets de valorisation des déchets et d’économie circulaire, comme ceux menés au sein de la plateforme de tri de la CACEM au Lamentin. Grâce à cette initiative, ce sont plus de 12 000 tonnes de déchets qui ont été valorisées en 2023, réduisant d’environ 30 % la part des déchets enfouis par rapport à 2020.
Sensibilisation à la réduction de l’empreinte carbone
Marcelle Poirriez intervient aussi dans la mise en œuvre de campagnes de sensibilisation à la réduction de l’empreinte carbone. À titre d’exemple, elle a soutenu le programme d’accompagnement des foyers vers des pratiques écoresponsables dans les quartiers de Fort-de-France, touchant plus de 1 800 ménages en 2023.
Une présence active dans les quartiers et les associations
Ce qui distingue Marcelle Poirriez, c’est sa proximité avec les habitants. Elle consacre une partie importante de son temps à rencontrer les acteurs de terrain, les associations de quartiers, les jeunes, les femmes en insertion et les personnes âgées.
Partenariats avec les associations locales
Elle est partenaire régulière d’initiatives portées par des structures locales comme Madin’Jeunesse ou Femmes Solidaires Martinique. En 2022, elle a contribué au financement de 14 projets associatifs dans le cadre du fonds de soutien à la vie associative communautaire, pour un montant total de 280 000 euros.
Présence sur le terrain
On la retrouve aussi lors des opérations de proximité, comme les diagnostics en marchant, ou les forums citoyens. En 2023, elle a participé à plus de 25 événements de ce type. Cette dynamique de terrain permet une meilleure compréhension des besoins et un lien direct entre les élus et les citoyens.
Sa vision pour l’aménagement du territoire
Marcelle Poirriez porte une attention particulière à l’aménagement urbain et aux conditions de vie dans les quartiers de la CACEM. Elle défend une approche équilibrée, entre développement économique, qualité de vie et préservation des espaces naturels.
Réhabilitation des zones urbaines
Elle a contribué à la relance de plusieurs projets de réhabilitation urbaine dans des secteurs stratégiques comme Dillon à Fort-de-France ou Fond Lahaye à Schœlcher. Ces projets incluent la rénovation de logements sociaux, la création d’espaces verts et le développement de voies douces pour les mobilités actives. À Dillon, ce sont près de 400 logements qui sont concernés par les travaux engagés en 2024.
Développement des mobilités douces
Son action s’inscrit également dans la volonté de renforcer les transports alternatifs. La CACEM, avec son appui, développe le réseau de pistes cyclables intercommunales, qui devrait atteindre 22 kilomètres d’ici 2026. En parallèle, elle soutient l’expérimentation de navettes électriques en centre-ville.
Une élue investie dans la gouvernance communautaire
Marcelle Poirriez prend une part active dans le fonctionnement interne de la CACEM. Elle est membre de plusieurs commissions importantes et participe aux arbitrages budgétaires et stratégiques.
Rôle dans les commissions
Elle siège notamment dans la commission “environnement et développement durable” ainsi que dans la commission “politique de la ville”. Ces instances techniques définissent les grandes orientations et préparent les projets soumis au vote en conseil communautaire. En 2023, elle a été rapporteure de trois délibérations majeures, dont le plan climat-air-énergie territorial.
Transparence et information
Elle milite aussi pour plus de transparence dans la communication des décisions publiques. Elle encourage la diffusion des comptes-rendus simplifiés et l’organisation de réunions publiques. En 2024, la CACEM a ainsi organisé six réunions de quartier ouvertes à tous les habitants, un record depuis sa création.
Quelle reconnaissance auprès des habitants et des élus ?
L’action de Marcelle Poirriez bénéficie d’un écho positif au sein de la population et chez ses collègues élus. Elle incarne une forme de proximité et d’efficacité, dans un contexte institutionnel parfois perçu comme lointain par les citoyens.
Soutien local
Des enquêtes de satisfaction menées par la CACEM montrent que près de 68 % des habitants reconnaissent l’utilité des actions de proximité menées par leurs élus, avec une satisfaction particulière concernant les projets portés par Marcelle Poirriez dans les quartiers populaires.
Collaboration politique
Sur le plan politique, elle réussit à nouer des alliances transversales, au-delà des clivages partisans. Elle collabore aussi bien avec les élus de Fort-de-France qu’avec ceux de Schœlcher ou du Lamentin. Cette capacité à dialoguer avec tous les partenaires facilite la mise en œuvre de projets à l’échelle intercommunale.